quoiqu’on note quelques vérités dans les autres religions vivantes dans le monde d’aujourd’hui, la vérité complète qui n’est rien d’autre que le monothéisme authentique n’apparait que dans l’islam. Les plus importants arguments soutenant cette affirmation relèvent du fait que les autres religions n’ont aucune base authentique et leurs sources de base peu fiables présentent beaucoup d’altérations et de contradictions récurrentes. Face à elles, l’islam a une source de base absolument inaltérée - le Coran - et elle est fondée sur des documents et des références historiques tangibles qui soutiennent que cette religion est complète et que ses enseignements s’accordent avec la raison saine. Par ailleurs, il n’existe qu’une religion authentique à chaque époque de l’histoire et toutes les autres religions sont fondamentalement fausses ou abrogées. La législation islamique est celle qui est en vigueur aujourd’hui et l’islam authentique et pure se manifeste dans la doctrine prônée par « les gens de la maison du Noble Prophète (ç) » ( Ahl-ul-bayt ou chiite) (as). Seuls les enseignements chiites reflètent authentiquement l’idéologie islamique mohammadienne.
Pour élucider cette question, il convient d’abord d’étudier les éléments comme les preuves de l’invalidité des autres religions pratiquées aujourd’hui et les arguments qui établissent la prédominance de l’islam, plus particulièrement l’islam Ahl-ul-bayt (as) :
A- Les preuves de l’invalidité des autres religions vivantes (en dehors de l’islam).
Nous rappelons deux points avant d’aborder la fausseté des autres religions pratiquées de nos jours :
Premier point :
Nous ne prétendons pas que tout ce qui compose les autres religions vivantes est faux ou qu’il n’existe rien de vrai dans ces religions. Nous voulons seulement faire comprendre qu’il existe des choses inacceptables dans ces religions, ce qui fait qu’elles ne peuvent pas prétendre être complètes.
Deuxième Point :
Nous allons aborder quelques exemples de choses non convaincantes que présentent les deux plus importantes religions vivantes à savoir le christianisme et le judaïsme. Et l’invraisemblance des autres religions qui sont en dessous de ces deux religions apparaitra plus évidente.
LES PREUVES DE L’INCOHERENCE DU CHRISTIANISME.
1- Première preuve de l’incohérence du christianisme : les évangiles ne sont pas authentiques et ne reposent sur aucune source scripturale fiable.
Le prophète Jésus (a) est un descendant de la tribu d’Israël. Il a vécu en Palestine où il prêchait en hébreux pour une population herbeuse. Cette population n’a jamais cru en lui si ce ne fut un petit groupe dont nous n’avons aucune information à propos. Par contre quelques personnes qui ont vécu en Palestine et d’expression grecque ont pris l’initiative d’écrire des livres dans la langue grecque et se sont ensuite éparpillées dans toute l’Asie mineure pour soit dire évangéliser les peuple primitifs. Ils ont rempli ces livres d’histoire dans lesquelles ils disent aux Grecs et aux Romains : Jésus a dit ceci, Jésus a fait cela. Ceux qui ont connu le prophète Jésus (as) en Palestine et qui ont vécu de près ses propos et ses actes ne l’ont jamais accepté comme Prophète (as) alors qu’ils parlaient la même langue que lui (as). Ils ont déclaré que ce qui est écrits dans le grec est presque invraisemblable. Seul les gens qui n’ont ni vu la Palestine, qui ne connaissent ni l’hébreux, encore moins le prophète Jésus (as), peuvent croire à ce qu’on dit dans ces livres.
Et si les récits qui parsèment les évangiles sont faux, leurs auteurs ne se sont quand même pas empêchés de les publier et les lecteurs n’osent aussi les démentir.
Il est par exemple écrit dans l’évangile selon Mathieu qu’après la naissance de Jésus (as), quelques mages vinrent de l’Orient et demandèrent où était le roi qui venait de naître car nous avons vu son étoile depuis l’Orient. On ne leur montra pas où était Jésus. Ils virent alors une étoile se déplacer dans le ciel pour s’arrêter au dessus de la maison où l’enfant Jésus était né. C’est ainsi qu’ils comprirent qu’il était dans cette maison. Un tel récit forgé a été incorporé sans aucun scrupule dans l’évangile. Un récit qui n’a pas était écrit en hébreux et qui n’était pas en réalité destiné aux habitants de la Palestine. Par contre il a fait mouche parmi les occidentaux. Or nous savons qu’aucun astrologue ne peut confirmer qu’une étoile apparait à la naissance de tout le monde et évolue au dessus de sa tête. Ni les non mages ni les mages ne croient en cela. Nous remarquons aussi que les anciens divergeaient au sujet de l’assassinat de Jésus (as). Il est écrit dans certains évangiles qu’il n’a pas du tout été tué. Or si un homicide est commis dans une ville tout le monde sera au courant. Surtout si cette personne est crucifiée. Mais les auteurs des évangiles n’ont eu aucun scrupule à forger en toute liberté de telles histoires destinées aux étrangers qui n’ont jamais vécu en Palestine et qui n’ont pas la possibilité de vérifier de plus près si cette histoire de « Jésus (as) a été tué ou n’a pas été tué » est fondée. Et pour résoudre le problème que posait ces contradictions les savants chrétiens se consultèrent dans une réunion organisés 300 ans après Jésus – Christ (as) et tombèrent d’accord pour choisir quatre évangiles dans la foulée et de les reconnaitre officiellement comme authentiques. Le reste a été censuré (canonisé) et considéré comme faux. Ils confinèrent ainsi la mort de Jésus (as) dans les évangiles qu’ils avaient rejetés[1].
2- Deuxième preuve de l’incohérence du christianisme : la présence d’innombrables contradictions et d’altérations dans les évangiles. Pour en savoir plus, nous vous invitons à lire le livre ‘’La voie du bonheur’’ d’Allameh Shi’rani[2], la vérité apparente de Fadhel Hindi Hebatollah ibn Khalid Rahmane, le Coran et les autres livres célestes de Shahid Hachim Nejad.
3- Troisième preuve de l’incohérence du christianisme : l’incompatibilité de certaines croyances chrétiennes avec la logique et la raison. Par exemple :
- Dieu le fils s’est corporellement manifesté pour porter les péchés de l’humanité en se laissant crucifier. Il est écrit dans l’évangile selon Jean : « Car Dieu a tant aimé le monde qu’Il a donné son fils unique afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle. Dieu n’a pas en effet envoyé son fils dans le monde pour qu’il juge le monde mais pour que le monde soit sauvé par lui »[3].
En ce qui concerne le judaïsme, nous citons trois problèmes essentiels :
Premièrement la Thora a trois versions :
- La version hébraïque reconnue par les juifs et les protestants.
- La version sumérienne reconnue par les sumériens (une des tribus d’Israël).
- La version grecque reconnue par les chrétiens, excepté les protestants.
La version sumérienne de la Thora renferme seulement cinq livres : le livre de Moise (le pentateuque), Josué, Juges. Elle ne reconnait pas les cinq autres livres de l’ancien testament. Le temps allant de la création d’Adam jusqu’au déluge de Noé est de 1656 ans ; or dans la 2ème version on parle de 1307 et 1362 dans la 3ème version. Ce qui laisse conclure que toutes les trois versions ne peuvent pas être authentiques. L’une doit forcement être authentique mais on ne sait laquelle[4].
Deuxièmement, la Thora contient des choses que l’entendement d’aucun homme n’arrive à digérer. Dieu est par exemple présenté dans la thora comme un humain qui marche, chante, ment et trompe. Car Il a menti Adam qu’il mourra si jamais il consommait le fruit de l’arbre du bien et du mal. Adam et Awa ont mangé le fruit de cet arbre mais ils n’en sont pas morts. Non seulement ils ne sont pas mort, ils ont aussi appris le bien et la mal[5]. Ou encore le récit du combat de Dieu et Jacob figure dans la Thora.[6]
B- LES ARGUMENTS DE LA VERACITE ET LA PREDOMINANCE DE L’ISLAM.
1- Le miracle de l’islam est vivant et éternel.
En effet, Le Saint Coran est le principal miracle de l’islam, une sorte de livre qui combine logique et science, contrairement aux miracles apportés par d’autres Prophètes (as) qui portent sur des choses perceptibles. C’est pour cela qu’il est toujours présent, vivant et repose sur lui-même sans aucunement besoin de la présence du Messager de Dieu (à). C’est un miracle éternel. En plus le Saint Coran réaffirme son éternité aux humains en les appelants au défi : « Si vous avez le moindre doute sur ce que Nous avons révélé à Notre serviteur produisez une sourate semblable »[7].
2- L’inaltération du Saint Coran, c’est-à-dire que rien n’a été modifié de son contenue. En plus de l’engagement que Dieu a pris pour protéger le Coran[8], le Noble Prophète (ç) a particulièrement veillé à préservation de son originalité. D’abord Il (ç) ordonnait toujours à un groupe connu sous le nom de « scribe » de coucher par écrit les versets et les sourates qui étaient révélés. Ensuite Il (ç) encourageait ses compagnons à mémoriser le Saint Coran. Un grand nombre de personnes était connu à l’époque du Noble Prophète (ç) comme les ‘’lecteurs qui on mémorisé le saint Coran’’. Il exhortait les gens à s’accoutumer à la lecture du Saint Coran avec la prononciation et une bonne tonalité au lieu de s’intéresser seulement à l’étude du sens[9]des versets. C’est grâce à tout cela que le Saint Coran est resté inaltéré.
3- Le troisième argument qui appuie que l’islam est la bonne religion porte sur la question du couronnement (khâtamiyya) du mouvement prophétique par le Prophète Mohammad (ç). Les saintes écritures islamiques[10] confirment que Mohammad (as) est le dernier des Prophètes envoyés par Dieu et qu’après Lui (ç) il n’y aura plus de prophète. Et dans toutes les sociétés, c’est la législation laissée par le dernier directeur qui demeure en vigueur et doit être mis en application. Ce n’est qu’avec une nouvelle législation que l’ancienne peut être abrogeable. On ne voit nulle part dans les autres saintes écritures une phrase ou quelque chose qui montre que leurs prophètes étaient les derniers. C’est plutôt des prophéties qui annoncent la venue de Mohammad (as) qu’on trouve dans les saintes écritures des suiveurs de ces religions[11]. Une manière de dire qu’ils (les Prophètes précédents) étaient là pour une période déterminée.
4- Il faut aussi mentionner que l’islam est une religion complète.
En effet, l’islam a prévu des enseignements pour tous les aspects de la vie de l’homme : spirituel, psychologique, individuel, social, matériel et moral ; Il faut procéder à une étude comparée entre le contenu des saintes écritures pour comprendre la globalité et le mérite des enseignements islamiques. C’est ainsi que vous pouvez constater le caractère complet et la diversité des enseignements islamiques comme les croyances, l’Unicité, les attributs de Dieu, la morale (individuelle et sociale), le droit, l’économie, la politique, l’administration…
5- L’islam est la seule religion vivante dotée d’un repère historique fiable grâce auquel les historiens arrivent même à retracer l’enfance du Prophète Mohammad (ç). Tandis que d’autres religions ont des sources historiques vraiment peu crédibles. Raison pour laquelle certains historiens occidentaux vont jusqu’à douter de l’existence du Prophète Jésus (as). Sans la présence de leurs noms dans le saint Coran des musulmans, certains Prophètes (as) du christianisme et du judaïsme n’auraient probablement pas été reconnus à leur juste valeur dans l’humanité[12]. Il est aussi bien évident que parmi les tendances et les confessions doctrinales islamiques, le chiisme vient en tête par rapport à l’authenticité des enseignements islamiques qu’il véhicule. Et quelle que soit l’époque, il a toujours existé une seule religion authentique et une seule législation. Au-delà de cela, toute religion ou confession doctrinal relève essentiellement du faux, de l’imposture ou se retrouve rétrogradée ou abrogée.
La multiplicité des religions divines et des confessions religieuses révélées à l’humanité jusqu’ici est horizontale et non verticale. En d’autres termes, la nouvelle religion vient compléter et abroger la précédente. Avec l’arrivée de la nouvelle religion, la date de validité de l’ancienne religion s’expire et elle perd sa légitimité au profit de la nouvelle religion. Et tout le monde est tenu de suivre la nouvelle religion et en avoir foi. C’est pour cela qu’on désigne dans les saintes écritures ceux qui refusent de se conformer à la nouvelle religion par « mécréant ou ceux qui ne sont pas reconnaissants ».
L’islam est la dernière et la plus complète des religions révélées pour l’humanité et Dieu n’agréera aucune religion en dehors de l’islam : « La religion (unique) agrée auprès de Dieu est l’islam »[13], « quiconque opte pour une autre religion que l’islam (sa religion) ne sera pas reconnue »[14].
Malheureusement les musulmans se sont divisés en confréries exactement comme les autres partisans des religions célestes. Une chose est sûre elles ne peuvent pas prétendre tous êtres dans la voie de la vérité. Le Messager de Dieu (ç) à dit : « Ma communauté se divisera en 73 groupe après Moi, une seule branche sera sauvée et les 72 autres seront vouées pour l’enfer »[15]. La doctrine islamique ahl-ul-bayt (as) (chiites duodécimains) prônée par les gens de la maison du Noble Prophète (ç) est l’unique branche de l’islam sur la voie de la vérité. Le chiisme n’est rien d’autre que l’islam tel qu’enseigné par le Noble Prophète (ç). Il (ç) dit d’ailleurs : « ô gens ! Je laisse parmi vous deux choses par lesquelles vous serez sauvez si vous les adoptez : Le livre de Dieu c’est-à-dire le ‘’Saint Coran’’ et les Ahl-ul-bayt ‘’Ma descendance’’[16].
Le grand et fidèle compagnon du Prophète (ç) Abou Zar al Ghafari rapporte : « J’ai entendu le Prophète (ç) dire : Mes ahl-ul-Bayt sont parmi vous ce que l’arche de Noé représentait pour son peuple ; quiconque y embarque est sauvé et quiconque s’en détourne est perdu »[17].
Le chiisme prône des valeurs essentielles telles que l’Unicité et l’Adoration d’un seul Dieu, la justice, le mouvement prophétique, l’Imamat, l’es eschatologie. Les chiites croient que 12 Imams infaillibles (as) ont été divinement désignés comme successeur du Prophète (ç) jusqu’à la fin des temps.
Le premier est l’Imam Ali (as) et le dernier est l’Imam Mahdi (aj). Des hadiths rapportés du Prophète (ç) révèlent le nombre et même les noms des 12 Imams infaillibles.
Un jour, Abdoullah ibn Mas’oud était assis parmi un groupe de musulmans lorsqu’un arabe vivant dans le désert se présenta. Il demanda : Lequel de vous est Abdoullah ibn Mas’oud ? Moi, répondit Abdoullah. Votre Prophète (ç) vous-a-t-il révélé le nombre de califes qu’il y aura après Lui ? Oui, répondit abdoullah. Ils sont au nombre de 12, exactement comme les 12 chefs de la tribu d’Israël »[18].
Nous nous appuyons sur le Saint Coran et la Sunna pour affirmer que le chiisme est fondé. Dieu nous a ordonné dans le Coran de Lui obéir, d’obéir à son Prophète et les légitimes détenteurs du commandement et selon les propos fiables se sont les Imams (as) des chiites. La question de l’imamat et de l’autorité religieuse après le Prophète (ç) est évoquée plusieurs fois dans le Saint Coran… Les versets comme : « Avertis les gens les plus proches de ta tribu », « Certes, Allah est votre guide, le Prophète (ç) et les croyants qui prient et donnent l’aumône en pleine inclinaison », « ô Prophète ! Transmet ce qui t’a été révélé de la part de ton Seigneur. Si Tu ne le fais pas c’est comme tu n’aurais pas transmis l’intégralité de son message », « Aujourd’hui, J’ai accompli votre religion et parachevé Mon bienfait sur vous. J’agrée donc l’islam comme religion pour vous », « Certes Dieu veut seulement vous débarrasser de toute souillure ô les gens de la maison ( du Prophète (ç) ) et vous purifier intégralement »…
Les preuves historiques révèlent que le Prophète (ç) a toujours présenté le prince des croyants l’Imam Ali (as) comme son successeur et son testamentaire. Tabrisi cite dans sou ouvrage d’histoire que lorsque le verset « Avertis les proches de ta tribu »n fut révélé, le Prophète (ç) avait invité les siens et leur déclara : « Dieu M’ordonne de vous appeler à Lui. Donc quiconque m’assistera dans ce mouvement sera mon successeur et mon représentant. Ali (as) répondit : « Moi ô Messager de Dieu (ç) ! Je (as) t’assisterai dans ce mouvement. Le Prophète (ç) tint la main d’Ali et dit : Voici Mon frère, Mon successeur et Mon testamentaire parmi vous, écoutez – le et obéissez-lui. Les autres proches parents du Prophète (ç) se levèrent en riant et lancèrent à Abou Talib le père d’Ali (as) : « Il t’ordonne d’obéir à ton fils et de suivre ses ordres »[19].
A la fin de sa vie lors du célèbre pèlerinage baptisé ‘’pèlerinage d’adieu’’ le Prophète (ç) présenta solennellement à Ghadir Khom Ali ibn Abi Talib (as) comme son successeur et guide des musulmans. Il ordonna à tout le monde de donner l’allégeance à Ali comme leur guide. Il lança ensuite cette célèbre phrase : « quiconque Je suis le Maître, Ali est son Maître » une déclaration beaucoup citée dans les ouvrages islamique.
Ce qui a été dit n’est qu’une infime partie des arguments rationnels et historiques de la véracité de l’islam et la supériorité de l’école Ahl-Ul-Bayt (as). Si vous voulez en savoir plus à ce sujet, vous pouvez consulter les ouvrages suivants :
1- Tafsir Nemouneh, vol 1, page 283, vol 11, page 8, vol 20, page 380.
2- Introduction aux idéologies des confessions islamiques, questions- réponses selon les chiites et les sunnites, 3, page 113.
3- Celui qui recherche la vérité, celui qui connait la vérité, traduction de Moura je’ât d’Allameh Sayyed Abdou Hossein Sharaf Dine.
[1] - Allameh Mirza Abou Hassan Shi’rani, la voie du bonheur, page 187-188-221.
[2] - Allameh Mirza Abou Hassan shi’rani, la voie du bonheur, page 187-188-221.
[3] - Evangile selon Jean, chapitre 3, page 16-17.
[4] - La voie du bonheur, page 206 et 207.
[5] - Ancien testament, genèse, chapitre 2 et 3.
[6] - Ancien testament, genèse, chapitre 21 : 24.
[7] - Sourate Baqarah : 23
[8] - Sourate Hijr : 9.
[9] - La voie du bonheur, page 22,215, 24, 25
[10] - sourate Ahzâb : 40, Sahih Boukhari, vol 4, page 250.
[11] - La voie du bonheur, page 226-241, Evangile selon Jean, page 21 : 41.
[12] - ensemble d’œuvres, vol 16, page 44.
[13] - Sourate Ali Imran : 19.
[14] - Sourate Ali Imran : 85.
[15] - Khisâl, page 585.
[16] - Kanz ul Ummal, vol 1, page 44, chapitre I’tisam bi Kitab wa sunna
[17] - Mostadrak alâ Sahihein, vol 3, page 151.
[18] - Khisal, page 467.
[19] - Tarikh Tabari, vol 2, page 320, édité en Egypte, Kamal ibn Kathir, vol 2, page 41,
dition Beyrouth.